Justine Arma

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Ce que je retiens de l’évolution de mon business

Ce que je retiens de l'évolution de mon business

Après cinq années d’entrepreneuriat sous le régime de la micro entreprise, j’ai fait le grand saut en passant en société. Avec un peu de recul, ce passage aurait dû être effectué plutôt, mais que voulez-vous, nous ne sommes pas toujours prêts à passer un nouveau palier.

C’est pourquoi dans l’article d’aujourd’hui je vous dévoile l’évolution de mon entreprise, du lancement de mon activité, aux différents pivots ainsi que le moment où mon entreprise s’est développée pour ensuite passer en société (et tout ce que cela engendre).

Je précise que je ne suis ni experte-comptable ni fiscaliste et que ce que je vais partager n’est que mon retour d’expérience.

Sommaire

Sommaire

Le lancement de mon activité, le choix de la micro entreprise

J’ai une passion, je veux en vivre

En 2016-2017 j’étais au chômage. En parallèle de mon chômage, je gardais des enfants à temps partiel, je passais un diplôme à distance d’attachée de presse, je me formais à la communication digitale et au web-marketing et je travaillais de façon bénévole sur divers projets, dont les projets musicaux de Marvin Marchand et de Tom Ace.
En bref, je faisais beaucoup de choses en même temps pour apprendre, tester, expérimenter et trouver ma voie.

Été 2017 j’ai pour la première fois investie en moi pour lancer mon activité. Sous le bon conseil de ma maman qui m’a rappelé que mon chômage n’était pas éternel et qu’il était temps que je puisse être autonome financièrement, que je puisse être rémunérée parce qu’”on ne mange pas de l’air et on ne paye pas son loyer avec un sourire”.

Je voulais pouvoir travailler dans l’industrie musicale et être à mon compte pour pouvoir être libre de choisir mes projets, mes clients et surtout suivre un peu partout Marvin Marchand et Tom Ace. J’ai donc naturellement choisi de devenir Social Media Manager pour les artistes et les professionnels de la musique.
Et pour y arriver, j’ai travaillé très sérieusement et à temps plein sur la création de mon projet en intégrant tout ce que j’avais appris pendant des années pour moi même. J’ai fait de mon idée et de mon désir d’activité un laboratoire pour être experte et surtout être ma meilleure vitrine. Si je sais faire pour moi et que j’aime le faire, alors je peux le faire pour les autres.

Vous pouvez d’ailleurs (re)voir une vidéo de présentation de mon activité enregistrée quelques mois après le lancement officiel de mon business et j’avais déjà commencé à faire évoluer mon métier.

Le statut de la micro entreprise

La micro-entreprise (anciennement auto-entreprise) est un statut intéressant pour l’entrepreneur qui lance une première activité pour tester ou encore en parallèle de son salariat.
Vous le savez peut-être déjà, la création d’une micro-entreprise est facile et rapide, le taux de prélèvement fiscal et social est relativement faible, l’abattement forfaitaire pour le calcul du bénéfice est souvent intéressant, et la gestion d’une micro-entreprise est ultra-simplifiée. Je ne vais cependant pas entrer dans les détails des explications chiffrées volontairement.

Je ne me suis pas vraiment posé de question sur le choix de mon statut d’entreprise. Tout ce que je voulais c’était pouvoir facturer mes clients. Dans cette étape je n’ai pas vraiment été accompagné et mon conseiller pôle emploi de l’époque ne m’aidait guère. Pour lui, je cherchais un emploi dans la garde d’enfants. C’est tout. Dans mon entourage proche, il n’y avait pas d’entrepreneurs qui me ressemblaient. Ma maman avait eu plusieurs entreprises, mais celles-ci étaient “physiques” comme un institut de bien-être et de beauté pour ensuite être en portage salarial pour son activité de formation et de thérapeute. Ma tante aussi était entrepreneure, mais sous un statut de société.

Alors, d’avoir investi dans la formation free-lance de Livementor était la meilleure décision à ce moment-là, car je rencontrais des personnes qui me ressemblaient, avec les mêmes problématiques que moi. Tous et toutes le plus souvent avaient créé une micro entreprise pour lancer leur activité. J’ai suivi le mouvement.
Pendant les 4 mois où j’ai travaillé sur mon entreprise, j’ai créé mon réseau et je commençais à avoir des demandes de collaborations. J’ai ouvert officiellement mon entreprise le 1er janvier 2018 et 15 jours après, je signais mes deux premiers contrats clients.

En revenant sur cette étape de ma vie, je suis tombée sur une vidéo de mon premier saut en parachute à peu près au même moment où j’avais décidé de lancer mon entreprise. Pour moi à cette époque je comparais l’entrepreneuriat comme un comme sauter en parachute, des fois même sans parachute ! Et je pense toujours la même chose aujourd’hui.

Les premiers clients et les premières galères

Comme je viens de le dire, j’ai eu mes deux premiers clients 15 jours après mon immatriculation. Et rapidement j’ai su qu’ils n’étaient pas de super clients. Ils correspondaient à mon client idéal de l’époque, mais je n’avais pas compris à ce moment-là que ma cible n’était pas idéale pour mon bien-être et le développement de mon activité. Comme d’habitude, j’apprends en faisant et je vous invite à faire de même. Tant que nous ne sommes pas en train de faire et de tester, tout n’est qu’hypothèse !

Dès le départ, j’avais mis en place une stratégie d’inbound pour être visible, considérée comme une experte dans mon domaine et attirer mon client idéal. J’avais un blog sur lequel je publiais des articles d’expertise et des interviews écrites de professionnels de la musique. J’étais très active sur Facebook et sur Linkedin. Là où mon client idéal se trouvait et là où j’aimais être également.

Pendant une année j’ai eu plusieurs clients artistes et labels de musique, je vivais de mon activité, suffisamment pour ne plus avoir besoin de pôle emploi, mais je sentais que je touchais mes premières limites au niveau du budget que mes clients pouvaient dédiés à mes services et le temps qui ne s’allongeaient pas dans mon planning.

Et surtout, j’ai eu des problèmes dans trois collaborations différentes : des appels incessants à n’importe quel moment de la semaine et des heures, des retards de paiement, des mésententes dans un label et un impayé. De quoi me questionner sur ma posture, mon cadre et mes services.

Le pivot de mon business pour retrouver du plaisir

Le lancement de mon activité, le choix de la micro entreprise

Deux ans après mon lancement, le bilan n’est pas bon

Début 2019 je cofonde un studio de création musicale avec Marvin Marchand et je continue de proposer mes services de stratégie et communication digitale. J’étais tiraillée entre les deux parties de mon activité. J’avais coupé ma semaine en plusieurs parties : deux jours pour mes clients, deux jours pour le studio et un jour pour moi. C’était assez difficile de jongler, de bloquer du temps pour chacun des projets. 2019 était une année charnière pour moi. Tant sur ma façon d’entreprendre, que sur la gestion de mon temps, la rentabilité de mes services ou encore le fait de ne toujours pas réussir à prendre des vacances.

Je venais de passer deux années à fond, la tête dans le guidon pour assurer la réussite de mon entreprise et me permettre de vivre de mon activité. Qui ne me passionnait plus du tout ! Rappelez-vous, je voulais vivre de ma passion. Eh bien là, je vivais d’une activité qui n’avait plus du tout de sens pour moi. Dans laquelle je ne me sentais ni reconnue ni respectée (que ce soit par mes clients ou par moi-même.)

J’avais un client depuis une année qui m’en faisait voir de toutes les couleurs, C’était très difficile à gérer. Il me téléphonait du lundi au dimanche tous les jours et plus précisément en fin de journée ou en soirée.Il était très envahissant et très anxiogène. En plus de prendre toute ma vie, c’était mon plus petit client niveau chiffres d’affaires. Mais je n’arrivais pas à m’en dégager ! J’étais qui pour arrêter une collaboration ? De quel droit je pouvais dire non alors que je voyais bien que d’autres entrepreneurs pouvaient avoir des difficultés pour obtenir des clients et vivre de leur business.

Jusqu’à ce qu’un jour, ce même client (qui commençait en plus à me payer en retard) me dise “Justine tu sais faire quoi d’autre que les réseaux sociaux ? Je ne peux pas te demander le café, tu habites trop loin”. Pour ce client j’avais clairement dépassé le cadre qui était indiqué sur le devis. J’étais devenue cheffe de projet digitale, un pilier central du développement de son projet musical. Je ne faisais donc pas QUE publier sur les réseaux sociaux. Cette phrase était d’une extrême violence. Je n’ai d’ailleurs pas réussi à garder mon calme, mais j’ai immédiatement mis fin à cette collaboration. La meilleure décision de ma vie. Merci encore à ce (mauvais) client !

Dans la foulée, j’ai arrêté l’ensemble de mes contrats dans la musique. Je n’ai gardé qu’un seul client en création de contenu dans le domaine du bien-être et de la santé. Je voulais retrouver du plaisir et de la passion. Continuer comme ça juste pour avoir du chiffre d’affaires n’était pas ce qui me motivait !

Changer de cible et d’offre

En arrêtant mes contrats, j’ai aussi refusé les nombreuses propositions qui venaient à moi. Souvenez-vous, ma stratégie d’inbound marketing mise en place avant même de lancer mon activité fonctionnait très bien ! C’était très difficile de dire non. Et d’autant plus difficile que je me mettais une nouvelle fois en “danger”. J’avais deux mois de trésorerie pour rebondir.

Je pouvais prendre le temps de développer autre chose, mais pas trop non plus. Comme j’avais réussi à le faire en 4 mois auparavant, je savais que je pouvais une nouvelle fois créer une activité qui allait me plaire et en vivre. J’ai tout d’abord pris du repos pendant les vacances de Noël. J’ai annoncé à Marvin Marchand que je me dégageais de la gestion du studio. J’avais créé de l’espace temps pour moi.

Et ça tombait bien, car je pouvais enfin lancer un projet que j’avais en tête depuis plus d’une année. Créer mon podcast Just in Tuned sur les coulisses de la musique. Je ne voulais pas que ce projet soit une idée de business, je ne voulais pas avoir d’objectif financier, je ne voulais pas entrer dans un process’ de rentabilité. Je voulais créer un podcast pour le plaisir et surtout pour aider les artistes et des professionnels de l’industrie musicale qui développent des projets dans la musique.

En parallèle j’avais répondu oui à une proposition de Livementor de devenir mentor sur les formations Freelance, Copywriting, Marketing Digital et Side Project en freelance.

Développer un projet qui me passionne

Me voilà début 2020 hyper pimpante et motivée à vivre une nouvelle aventure entrepreneuriale avec plus de sens et plus de plaisir. Mes semaines étaient rythmées par Just in Tuned (deux jours par semaine), le mentorat et coaching business pour Livementor (deux jours par semaine), une demie journée pour mon client en création de contenu et une demie journée pour moi.

Et puis, la crise sanitaire est arrivée et tout s’est accéléré. J’ai eu de plus en plus d’écoutes et d’interviews pour Just in Tuned. J’ai eu de plus en plus d’entrepreneurs à accompagner et j’ai eu plus d’heures de mission pour mon client en création de contenu. Autant vous dire qu’après 30 visios d’entrepreneurs, des interviews et des montages de podcast, des dizaines de publications pour les réseaux sociaux et des newsletters, je n’avais plus de jus pour moi, et pour les apéros Zoom des confinements.

Mais cela n’avait pas beaucoup d’importance, je m’éclatais ! C’était le grand kiff de partout ! Plus je prenais de plaisir, plus j’avais de l’énergie (team generator). Mon quotidien était très dense, très rythmé, je n’avais pas la place pour de nouveaux projets ou de nouveaux clients. Just in Tuned était ma priorité, les entrepreneurs que j’accompagnais également.

Mon chiffre d’affaires avait aussi fait un bond en avant, j’ai frôlé en version limbo le seuil de la TVA (34 400€) en freinant les facturations, car j’avais peur de passer ce cap.

Le développement de mon business, prête pour le décollage

Le développement de mon business, prête pour le décollage

Rassembler les pièces du puzzle pour retrouver mon business

En septembre 2020 je commençais à souffrir des différentes facettes de mon quotidien. J’adorais tout ce que je faisais, mais je ne pouvais pas développer mon entreprise, car Just in Tuned prenait deux jours par semaine. Donc deux jours que je ne pouvais pas utiliser pour des clients par exemple. Je me suis mise à chercher quel était le lien entre tout ce que je faisais et comment je pouvais développer mon entreprise ? J’ai également remis en question mon business modèle. Une fois de plus, j’ai décidé de me faire accompagner pour avancer. J’ai rejoint la première session de la BSB Académie de TheBboost pour reprendre mon business. J’en parle dans l’épisode #1 de Réveille ton Biz’.

Cela faisait pratiquement une année que j’avais mis en off la visibilité de mon entreprise, que je ne communiquais plus en mon nom pour attirer des clients. Non seulement parce que je n’avais pas la place pour avoir des nouveaux contrats, mais surtout je ne savais pas avec qui je voulais travailler et comment je voulais travailler. J’avais l’impression de ne plus avoir de business, mais seulement des clients en prestation de service et un podcast.

Rebelote ! Pendant 4 mois, en plus de faire tout ce que je faisais je reprends les bases de mon business, qui j’étais, ce que j’aimais faire, ce que je voulais faire, avec qui, comment le faire. Je délègue la refonte de mon identité visuelle, je repars sur une stratégie d’inbound à travers la création de mon podcast Réveille ton Biz’ et mon blog pour attirer des clients.

J’avais décidé d’associer tout ce que je faisais déjà et qui était juste devant mon nez: du podcast et de l’accompagnement business pour entrepreneurs. C’est là que je m’autoproclame : mentor podcast et coach business !

Être sur tous les fronts et se cogner aux limites

En reprenant les manettes de mon entreprise, il fallait que je dédie du temps à tout ce que je voulais mettre en place et développer dans mon entreprise. C’était comme si j’avais un nouveau super client. Mais toujours le même nombre d’heures et de jours dans mon agenda et toujours le même temps pour Just in Tuned et le même nombre (même plus) d’entrepreneurs à accompagner. Et puis mon client en création de contenu était toujours présent !

Vous imaginez bien maintenant que ma semaine était full chargée, sans espace vide. Je n’avais rien enlevé ! J’avais ajouté un projet. Alors même si j’aimais tout ce que je faisais et que j’avais l’énergie pour, je me rendais bien compte que je ne pouvais pas faire tout cela seule pendant longtemps ! J’allais seulement réussir à me cramer ! Rien de plus !

Comme j’avais l’ambition de développer mon entreprise, de la rendre visible et de pouvoir attirer des nouveaux clients, il fallait que je passe par la case délégation. Ma première expérience de délégation avait eu lieu sur mon podcast Just in Tuned en accueillant trois stagiaires en même temps. Et j’en étais vraiment très contente. Cependant je n’avais pas le temps nécessaire pour former et suivre des stagiaires. Il me fallait une ou plusieurs personnes déjà opérationnelles pour optimiser mon temps et m’épauler dans l’évolution de mon business.

Je délègue et j’embauche

J’ai délégué la création de ma nouvelle identité visuelle, la refonte et la gestion de mon site internet et la rédaction d’articles de blog. Mais ce n’était pas suffisant ! Just in Tuned était toujours là et je ne voulais pas l’arrêter. J’ai pris la décision d’embaucher une alternante début 2021 pour travailler sur Just in Tuned et prendre le relais sur la création de contenu web et réseaux sociaux. Je déléguais aussi à mon ancien stagiaire le montage des épisodes de podcast.

Ce temps précieusement gagné devait me permettre de m’occuper du podcast Réveille ton Biz’ et de créer mon accompagnement de groupe MOVA à la création d’un podcast au service de son entreprise.
Sur le papier c’était beau ! Mais dans la vraie vie, c’était super compliqué. Mon alternante n’était pas du tout efficace et finalement je devais tout gérer toute seule : Just in Tuned dans son ensemble sauf le montage des épisodes, Réveille ton Biz’ dans son ensemble, ma communication, MOVA, les entrepreneurs que j’accompagnais et toujours mon client en création de contenu. C’était 6 mois très difficiles à vivre. Sans parler que j’avais commencé aussi ma grosse formation en Human Design. C’était vraiment chaud ! Je me sentais en plein milieu de mes propres incendies, pieds et poings liés.

Mais j’ai tenu bon ! J’ai mis fin au contrat de mon alternante, j’ai mis en pause Just in Tuned, j’ai embauché Julie en alternance en septembre dernier sur un poste de business manager, j’ai arrêté ma mission avec mon client en création de contenu et j’ai aussi mis fin à mon contrat avec Livementor. Tout cela pour me concentrer sur mon entreprise et son développement.
J’ai continué de déléguer régulièrement la rédaction d’articles ou la création des pages de ventes. Sauf que tout cela coûte de l’argent et j’ai vraiment compris fin de l’année dernière que j’avais touché les limites de ma micro entreprise. Surtout en septembre dernier où je n’avais plus le choix que de passer le seuil de la TVA.

Le passage en société, mon retour d’expérience à chaud

Le passage en société, mon retour d’expérience à chaud

Les limites de la micro entreprise

Le statut de la micro entreprise présente plus ou moins rapidement des limites pour l’entrepreneur et pour l’évolution de son activité. Il y a différentes limites au régime de la micro entreprise comme :

Lorsque l’on est en micro entreprise, cela signifie que l’entrepreneur :

J’étais exactement dans tout ça ! J’avais beaucoup de dépenses entre mon employée, des prestataires et les outils dont j’avais besoin pour travailler. Et je payais des charges et impôts sur ce que je n’avais pas dans ma poche. Alors certes les charges sont faibles, mais elles sont sur l’ensemble du chiffre d’affaires et non pas sur ce que je me rémunère.
J’ai compris cela en me tapant la tête contre la réalité. J’ai eu un gros problème de finances et de trésorerie qui m’ont mis en période de stress au point d’avoir peur de ne pas pouvoir me rémunérer et donc vivre de mon activité.

Si vous avez actuellement des doutes sur le statut de votre entreprise qui est en train de se développer, je vous recommande fortement d’écouter l’épisode du podcast “L’avenue” de Pauline Sarda “ Quand passer de la micro entreprise à la société ?”.

La création de mon EURL

Faire évoluer son business

Avec le recul, je pense que j’aurais dû prendre cette décision il y a un an, dès que j’ai embauché et commencé à déléguer à des prestataires régulièrement. Mais que voulez-vous, nous ne sommes pas toujours prêts à passer un palier de cette taille ! La création de mon EURL est très récente ! Cela a été officialisé le 1er mars dernier ! Mais c’était un process’ de décision et d’organisation d’environ trois mois.

Une EURL est une Entreprise Unipersonnelle à Responsabilité Limitée. C’est l’équivalent de la SARL mais lorsqu’il n’y a qu’un seul associé. L’unique associé est donc également le gérant de l’entreprise. Celui-ci reste affilié au régime des travailleurs indépendants. Aucune fiche de paie ne doit être établie et aucun salaire minimum n’est prévu par la loi. Les cotisations sociales ne sont pas non plus calculées de la même manière. Pour creuser sur le sujet je vous invite à prendre contact avec un.e expert.e comptable pour comprendre et faire un point sur votre situation. N’hésitez pas à contacter Numbr de ma part !

La création d’une EURL peut être assez simple puisque vous êtes accompagnés d’un.e expert.e comptable ou d’un.e avocat pour le faire.

Mais émotionnellement ce n’est pas la même chose. Ça peut faire peur, ça peut impressionner et surtout ça peut engendrer une dose de stress relativement forte. C’est ce par quoi je suis passée. Sans parler de toutes les difficultés que l’on rencontre quand il est question de l’administration française. Je suis d’ailleurs encore en attente de certaines formalités liées à mon organisme de formation et à mon exonération de TVA qui m’empêchent aujourd’hui de facturer à mes client.e.s le Programme Réveille ton Biz’ par exemple.

Ce qu’est mon entreprise aujourd’hui

Mon entreprise aujourd’hui se nomme Réveille ton Biz’ ! Comme je ne suis plus toute seule à l’intérieur de mon business, c’était plus cohérent pour moi de lui donner un nom qui n’était pas le mien. Alors oui, vous me trouvez sur les réseaux sociaux et sur internet au nom de Justine Arma mais peut-être qu’à l’avenir tout sera au nom de Réveille ton Biz’. Nous verrons bien !

Émotionnellement, j’ai peur, mais j’y vais ! Je suis très heureuse et très fière du chemin parcouru et je vous invite à prendre le temps de regarder par-dessus votre épaule et de vous en féliciter !

Mon business model a évolué également, je ne propose plus de prestations de service en production de podcast ou création de contenu pour d’autres entreprises. Je propose mes propres programmes d’accompagnement pour les entrepreneurs qui souhaitent développer leur business:

Je suis très fière de chacune de ces offres parce que je me sens vraiment alignée avec ce que je propose et avec mon but de vouloir vous accompagner au maximum dans le développement de votre entreprise !

Ce que je retiens de l’évolution de mon business

La route n’a pas été linéaire, mais c’est aussi pour vivre tout ça qu’on se lance, je crois. J’ai énormément appris en 5 ans et pas seulement intellectuellement pour renforcer mon expertise. J’ai appris sur moi et je continue de le faire tous les jours. C’est une sacrée aventure et si c’était à refaire, j’irais à fond, MAIS en prenant plus soin de moi et en travaillant toujours sur la structure, les process’ et la simplification de mon entreprise pour m’éviter de vivre des incendies.

Si vous souhaitez vous faire accompagner dans cette démarche-là, discutons-en ! J’ouvre cinq places pour la première session du Programme Réveille ton Biz’ ou la possibilité pour cinq personnes de recevoir votre Manuel HD&Biz’ !

reveille ton biz

Réveille ton biz’ n’est pas qu’un podcast, c’est aussi un coaching que je propose qui est en train de se transformer en programme d’accompagnement.

Plusieurs mois que ça infuse dans ma tête et à travers les 250 entrepreneurs que j’ai accompagnés.

Alors si vous :

Je crois que le programme Réveille ton Biz’ est pour vous !

Si vous vous reconnaissez là-dedans, retrouvez-moi dans cette première version bêta !

C’est la base qui vous aidera à faire tout le travail et le marketing autour de vos produits et services pour devenir un.e professionnel.le au service de votre vie. Sans subir votre quotidien et ce que vous avez construit jusqu’à présent.

Pour moi, il n’y a pas plus beau que de voir une personne incarner ses valeurs, respecter son fonctionnement et tout déchirer en vivant sa meilleure vie.

Vous pouvez réserver un appel gratuitement directement dans mon agenda .Si jamais mes dispos ne vont pas avec les vôtres, vous pouvez écrivez-moi à hello@justinearma.com

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